
Cette sculpture a nécessité l'apprentissage d'un métier, à ce jour quasiment disparu, la dinanderie. C'est un processus où l'on forme la tôle de cuivre sur différents tas en acier, à chaud ou à froid. Les pièces sont ensuite positionnées, assemblées et soudées avec du cuivre, de telle manière qu'une fois terminé, l'assemblage disparait. Cette technique fut employée, à grande échelle, pour la statue de la liberté.
C'est une œuvre de labeur mais qui fut très agréable à réaliser, au regard de la noblesse du matériau.
Une fois l'œuvre achevée, elle a été patinée avec des acides, ce qui lui confère une multitude de teintes brunes et or.
Commande privée, oct 2020
Dimensions 2m20 d'envergure par 1m80 (sans la queue)




